@Et Hop !Vous oubliez que François Mitterand, en plus de Fernand Iveton, a
refusé à cette époque toutes les grâces qui lui ont été soumises.
Et depuis, certains s’emploient à nous présenter cet homme comme un
grand humaniste sous prétexte qu’il a, sous le ministère de Badinter,
abolit la peine de mort.... j’ai failli écrire "remords"
Pour la mémoire, ce jour là : Le ministre français de la Justice de
l’époque, François Mitterrand, et le président de la République
Française refuseront de le gracier après la demande introduite par ses
avocats.
Le 11 février 1957 au petit matin il sera guillotiné en même
temps que deux autres patriotes algériens. « Fernand Iveton, Mohammed
Ouennouri et Ahmed Lakhnèche marchent courageusement au supplice.
Les 3
hommes s’embrassent et clament « Vive l’Algérie libre ! » au pied de la
guillotine tandis que, de la prison tout entière, s’élève un grand cri
de solidarité, de colère, d’espérance.
Les détenus politiques pleurent,
entonnent des chants patriotiques, ébranlent de leurs poings les portes
des cellules. »