Comment expliquer la montée en puissance de l’Etat islamique ?
Par Georges Corm.
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Lafarge, la multinationale qui finançait l’Etat islamique
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Attentat de Strasbourg : Chérif Chekatt, le faux "chevalier de la foi"
Extraits :
Qualifié de « djihadisme », ce type d’actes n’est pas du terrorisme et
se rapproche plutôt des tueries aux Etats-Unis commises par de individus
qui cherchent à se venger de la vie. Par Farhad Khosrokhavar, École des
hautes études en sciences sociales (EHESS).
On trouve chez ces faux djihadistes un grand opportunisme à ce sujet :
ils enrobent leur haine de la société dans l’adhésion imaginaire à un
islam qu’ils ne pratiquent souvent qu’à moitié (et même bcp moins et depuis très peu de temps).