Cette loi anti-slapping est typique de la diarrhée législative, et de l’imbécillité des députés : on crée des nouvelles lois pour punir des infractions qui sont déjà sanctionnées par des lois plus générale, mais qu’on ne veut pas appliquer.
Une gifle est déjà punie comme coup et blessure, avec les circonstances agravantes d’être volontaire, commise en réunion, avec préméditation, avec l’insulte, vol d’image et comportement dégradant.