@joelim
C’est en effet très insipide, de la World-music où l’on a du mal à retrouver les racines qui faisaient toute la saveur de ses premiers albums comme "Diasporas"
Le métissage des genres est une question de dosage très subtil, mais comme en cuisine il ne suffit pas de mélanger n’importe quelle saveur avec n’importe quelle épice pour que le résultat soit surprenant, inventif et savoureux.
Je retrouve la même déception chez un autre trompettiste tout aussi addulé :Erik Truffaz, qui d’albums en albums verse dans le convenu ou l’insipide.
Reste (pour moi) son chef d’œuvre absolu "Bending New Corners" autrement plus couillu et inventif que ce qu’il fait à présent.