Quand l’électeur :
— n’a pas le courage de ses opinions,
— qu’il vote comme un hypocrite,
— ou ne vote pas
qu’il ne s’étonne pas ensuite de la "qualité" du personnel politique
De toutes façons, le mur est en face, peu à peu il sort du brouillard.
Courage : encore " 3 décennies" de conneries et les vivants n’auront plus à se poser de questions, toutes les cartes restantes seront sur table...