Sans me prendre la tête je pratique la galanterie un peu par éducation, un peu par habitude, mais dorénavant je lui donne le sens suivant : le galant est celui qui par un geste simple et discret signifie à Madame qu’il a tout à fait conscience que le monde pourri dans lequel nous vivons est principalement le produit des mâles, comme le dit la chanson Tatcher de Renaud. Je vais jusqu’à rejoindre Jean-Ferrat : la femme est l’avenir de l’homme, en tout cas dans des domaines vitaux.
Sans tomber dans le manichéisme, bien sûr (veritatis salopae esistum est) - ça doit être du latin je crois - j’explique succintement la démarche, ou à peu près. Pas de lézard. Mais pourquoi sortir du futile, du dérisoire, du rien du tout, pour passer à la TV ? La galanterie, moins la politesse, disparait d’elle-même de toute façon.
D’où : je rejoinds joyeusement Hijack dans ses dires et promesses festives.