@Jean Robin "En France, pour 1 catholique tué il y a eu 100 protestants tués."
Le protestantisme...ce n’était pas que la France, il s’est imposé par une violence inouïe dans plusieurs pays européen (à Genève, en Écosse, en Allemagne, au Danemark, en Islande, en Suède) ! Les catholiques ont été lynchés et persécutés, leurs lieux de culte détruits, interdiction de jouer des instruments de musique, destruction des orgues des églises, interdiction de faire sonner les cloches, interdiction des images pieuses dans plusieurs pays où le protestantisme avait émergé.
Le but était évidemment d’éviter que ce totalitarisme abject ne contamine la France !
Dans un sermon donné le 1er septembre 2002, le pasteur protestant Philippe de Robert, professeur à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg, justifie la violence des protestants (camisards) contre les catholiques en ces termes :
"C’est vrai, ils ont commencé par tuer un prêtre, ils ont brûlé des
églises, ils ont détruit des villages, ils ont pratiqué des exécutions
sommaires. Les camisards n’étaient pas des saints. Ils ne seront pas
justifiés par leurs oeuvres.
[...] Oui, les camisards étaient des terroristes, mais comme l’étaient il y a
une soixantaine d’années, dans le discours de l’occupant, ceux que nous
appelons résistants ou maquisards. [...] Si l’on ne rendait hommage qu’aux parfaits non-violents, aux seuls
apôtres de la paix, à ceux qui ont supporté sans broncher les pires
injustices, à ceux qui les ont tolérées, avec ou sans états d’âme, quand
elles frappaient leurs voisins, aux parfaitement soumis¬ - qui
deviennent parfois les totalement indifférents - notre histoire serait
bien fade. [...] Les camisards avaient manifestement la conviction de mener une guerre
sainte, au sens où Dieu lui-même les y aurait encouragés et dans
laquelle il les aurait conduits par des révélations privées de type
charismatique."