Le problème de débattre avec ce type de
personne imprégnée d’idéologie, c’est le refus de la contradiction, plus tu
développes et plus il te faut prouver ce que tu avances.
C’est un mécanisme de défense naturel
propre aux défenseurs de causes qui vont souvent à l’encontre du bon
sens.
Et même si tu avances des arguments
tangibles par exemple le site que je propose en lien sur cet article, il est
toujours possible de réfuter la source, on ne s’en sort jamais en définitive.
Je vais me permettre de
paraphraser ce qui a été dit plus haut dans les commentaires, l’enfant même
choyé deviendra adulte et cette différence peut devenir un fardeau et
être à l’origine de trouble psychologique et affectif.
Il est acquis que les enfants issus
de couples homosexuels épousent souvent la sexualité de leur parent ou que
le manque de repère masculin tend à déviriliser dans le cas d’un garçon par exemple.
Pour ma part, j’ai eu brièvement affaire à deux
personnes issues de ces modèles familiaux.
Nous étions en début de la vingtaine,
c’était un garçon élevé par un père (homo) et ponctuellement par un
beau-père, ils vivaient tous sur Barcelone, j’avais profité d’un
week-end pour le revoir.
Je me souviens encore d’une soirée avec
ces deux « pères », ça m’a paru vraiment étrange, mon ami fumait cigarette sur
cigarette, gay non assumé, il était très mince et très pale, vraiment pas bien dans sa peau, je n’ai pas passé
une bonne soirée, c’était même glauque en fait, mais ça reste une impression,
je ne sais pas ce qu’il est devenu, je n’ai plus eu de nouvelles depuis.
Pour la fille, c’était un flirt de
quelques semaines, issu d’un père et d’une mère, son père avait fait son coming-out
lorsqu’elle était petite.
Ce n’est peut-être pas lié, mais elle piquait souvent des crises
d’hystérie carabinées, très instables, elle était clairement à la
recherche d’un père de substitution, j’ai dû mettre fin à la relation
rapidement devant trop de caprices et de crises.
Mais tout ceci reste subjectif, dans une
société sans sagesse, tout peut être expérimenté jusqu’à preuve du contraire.