@maQiavel "Sauf que dans
la phrase que vous avez reprise, il n’est pas question de « démocratie
représentative » mais de l’aristocratie de l’ancien régime. "
C’est le même problème, quand les intérêts de l’élite divergent de ceux du peuple, il conduisent inéluctablement à la partition.
Les bourgeois, les aristocrates, puis les élus de la république, une fois qu’ils ont amassé leur fortune (au bout de cinq ans pour le président actuel) on n’entend plus parler d’eux, sauf pour quelques commémorations, et il se foutent dès lors des intérêts et du devenir de la France.
Le roi de France, avant d’être noyauté par la bourgeoisie à la fin du XVIIIème siècle, était lié à vie à Dieu, à son peuple et à son terroir, s’il dérogeait à la justice, à la bonne morale, le peuple était mécontent, et il devait en rendre compte à Dieu, en se faisait rappeler à l’ordre par le Pape.