Après la roublardise des muzz, la fourberie trotskyste en
action sur les plateaux. Sacré Pleynel, entre ruse et évitement sa place était
bien dans cette manif d’islamo-gauchistes.
« …les antisémites de l’affaire dreyfus ne savaient
pas que leurs mots provoqueraient la solution finale 40 ans après… »
Contrairement
à ce qu’il prétend n’avoir pas vu, cette appropriation culturelle de l’étoile
jaune ne manque pas de piquant car les frères musulmans ont mandatés le grand
Mufti de Jérusalem pour aller susurrer à l’oreille d’Hitler la solution finale.
Il est maintenant établi que lors de leurs conversations Hitler lui avait suggéré
de relocaliser les juifs en Palestine, ce à quoi le grand Mufti lui suggéra de
les tuer tout simplement.
Ce qui me
permet de faire la transition avec Soral et ses fanboys. Si Pleynel n’a rien vu
rien entendu, eux ne rendent compte de la « manif contre l’islamophobie »
qu’au travers l’étoile jaune sur la fillette. Autant dire de suite qu’elle n’était
la seule a arboré le sticker, plein de manifestants faisaient de même. C’est précisément
là que se détache le 3ème étage de la fusée soraliène : « Ci un
complot di siounistes ». Bah oui, si Benbassa a déclaré dans un premier
temps qu’elle n’avait pas vu d’étoiles jaunes collés sur ses compagnons de
marche, elle s’est justifiée dans un second d’être inattaquable sur ses numéros
de propagande de la shoah. Du 3 bandes à la Soral !
« La main jaune de SOS Racisme oui, l’étoile jaune de SOS Sionisme non ! »
Les adhérents du master of logos (des fds en perdition, des dhimmis gauchistes et des maghrébins binationaux, tous fanboys de Mbala Mbala et du peuple palestinien) ont
trouvé une nouvelle occasion de s’exciter sur le lobby kon-peu-pa-dire-le-nom, l’exutoire
habituel de cette mouvance judéo-centrée qui m’inspire cette citation de la salope
de Talleyrand « Tout ce qui
est excessif est insignifiant ». Exit les commentaires sur les muslins
en fronce, la manif, les organisateurs, le ccif... Je retiens juste ce commentaire d’un abonné du
groupe, grand stratège de la reconquista : « Mélanchon devient l’ennemi
N°1 des sionistes : c’est mon pote, en vertu du vieil adage : l’ennemi
de mon ennemi est mon ami ».