@ezechiel
Je dirais qu’Asselineau
est une burne politique qui a viré sa cuti chez les gauchistes à l’insu de son
plein gré. Il dirige un parti de frustrés dont le gros
des troupes est venu très tôt de l’ex parti de gauche (LFI). Il a bâti sont fonds
de commerce sur les attaques incessantes de la famille LePen pour engranger des
adhésions et a bien entendu récolté encore plus d’islamo-gauchistes et beaucoup
de fronco-magrébins en faisant, comme tu le dis très justement, le pied de grue
sur les radios communautaires.
Asselineau pensait que les mainstreams lui dérouleraient
directement le tapis rouge tellement il était premier de la classe et détenait
toutes les bonnes, les vraies analyses sur la société française et cette salope
d’UE. Bah non, ça ne marche pas comme ça. C’est à cette époque que mon
pendentif carbone 14 date ses premières crises d’hystéries contre les LePen en
pleine réunions publiques, s’il vous plait ! Je me souviens de ces vidéos savoureuses
la bave aux lèvres, la voix stridente, où le Grasselineau proche de l’apoplexie
pétait les plombs de jalousie parce qu’il n’avait droit au même temps de parole
que MLP. Un vrai sanguin pépère. Ses
analyses imparables justifiaient à elle seules de prendre la place de la truillasse
à 25% avec tous ses élus.
Asselineau avait pourtant mûrement soupesé tous les
avantages qu’il pouvait tirer de ce nouveau statut de chef de l’opposition, son
ego surdimensionné lui avait donné carte blanche. Bah non, même en
recrutant des sdf du PCF, des syndicalistes, des troupes supplétives de la
troisième génération de chances pour la fronce, des fds sans opinion en
province, en passant des accords de ouf avec le PRCF, Asselineau voyait encore
une fois s’effondrer ses rêves de gloire et de beauté à l’élection de 2017.
Quelle déception chez les militants, eux qui croyaient dur comme fer qu’il suffisait de truquer
les sondages bidons du net pour propulser Raelino au second tour de la
présidentielle.
Rien n’a changé depuis l’auto-enfumage de groupe de 2017, une marque
de fabrique de l’upr. Même quand Zemmour défonce gentiment la cocotte sous
pression pour lui éviter le ridicule, c’est toujours Grasselineau qui gagne à
la fin pour les militants