Benala à partir des 60 minutes :
quelle distorsion entre les préoccupations qui devraient être celles d’un Chef d’État et celles du déclarant "Monsieur Benala n’est pas mon amant !".
On a du mal à croire à l’antériorité de l’exemplarité du Général.
Que de temps perdu pour la justice et les fonctionnaires...
Quelle gifle pour l’éthique judiciaire !