@tobor
je ne sais pas comment comprendre votre approbation.
Ce que je veux ajouter c’est ceci : hormis la position des pédophiles — pédocriminels quand ils passent à l’acte —, il y a d’un coté la doctrine de Françoise Dolto, de l’autre la négation pure et simple de la valeur du consentement de l’enfant.
Autrement dit, soit le respect de l’adulte qu’il est en devenir, soit le déni de son humanité sur au moins un plan, le plan sexuel. Ce déni n’est pas sans conséquences sur kes autres plans
La position défendue par la majorité n’est pas acceptable dans un contexte de décriminalisation de la pédophilie. Dans un contexte inverse
cette position conservatrice est archaïque.
En revanche, la doctrine Dolto est amha la seule soutenable quand il est dit et redit que, quelle que soit la demande de l’enfant en la matière, l’adulte doit la refuser — mais habilement si possible et sans culpabiliser l’enfant, puisqu’il ne lui est pas légalement fait grief d’exprimer de tels désirs.
Ces désirs éventuels devront être canalisés vers des activités et créatives un développement positif, c’est ce qu’on appelle la sublimation.
Une enfant abusé, quel que soit ’’le pied éventuellement pris’’, est toujours victime d’une pluralité de peines, double, triple, ...
Avantage secondaire, en cas de plainte, l’adulte sera condamné. En cas de non plainte, les deux s’en sortiront au mieux.