@yoananda2
Vous avez raison de préciser que, derrière la volonté (ou, ici, l’absence de volonté), il faut rechercher les motivations des décideurs. Vous citez le coût des politiques de sécurisation, il y a aussi le fait que les décideurs et leur entourage soient ou non concernés par les manifestations de la délinquance.
Je me souviens (sans toutefois pouvoir citer de circonstances précises), qu’après que des parisiens plutôt en vue aient été agressés alors qu’ils circulaient en voiture par de jeunes délinquants à scooter venus de banlieue, la préfecture de police a créé une unité motorisée qui a très vite été capable d’intercepter ces délinquants avant qu’ils ne puissent franchir le périphérique...