@yoananda2
La liberté par exemple de pouvoir critiquer une religion sans être traitée de pute et lynchée en place publique (sur les réseaux sociaux).
Ma remarque se voulait ironique à un moment où les politiques, en particulier au gouvernement, donnent dans la surenchère féministe (#metoo) et prétendent défendre les droits des femmes, la liberté des femmes...
Or voilà une gamine de 16 ans jetée à la vindicte des barbus pour avoir "blasphémé", menacée de mort, déjà déscolarisée tandis que la justice ouvre une enquête pour "incitation à la haine raciale" et que la ministre de la justice l’accuse "d’atteinte à la liberté de conscience".
C’est évidemment la lâcher dans la mesure où l’atteinte à la liberté de conscience ne peut être retenue que pour des individus et non pour une religion.