Peut-on croire en l’existence d’une censure visant le père Denis Robert.. ? j’avoue ne pas avoir suffisamment creusé le sujet...il est cependant manifeste que cette odieuse persécution recouvre d’un voile de subversion la face de teckel dépressif sous traits de traître d’opérette du "journaliste"...

Après tout, même dans la guerre de l’information il n’est pas rare qu’on exécute un complice avec des balles à blanc...poudre aux yeux...

Puisqu’on parle de censure...après quelques jours d’absence je découvre avec effroi et consternation l’absence d’article consacré à une censure innommable...celle du "dîner annuel"...une rituelle bulle d’oxygène que s’octroie une communauté oppressée, un espace de parole privilégié où les convives se remplissent la panse et parlent avec les tripes...

Moment de libération odieusement censuré par le président de la "République-et-ses-valeurs" sous un prétexte viral aussi fallacieux que grossier...car pas de président pas de "dîner annuel"...un "dîner annuel" sans son président c’est comme prendre un bain et se priver du plaisir de lâcher une grosse caisse...c’est le trophée suprême, la créature cornue vaincue symbole de tous les cocus... 

On se souvient de cette séquence édifiante où Francis Kalifat exhibe sa proie Macroute sur scène, le bras captif de ce dernier et son air crispé...cette année il n’était pas à exclure une autre surprise, par exemple une cérémonie expiatoire sous la table avec un cinéaste vilipendé, recouvert de crachats, à qui notre bon président pouvait offrir les excuses de la France, cette France éternellement coupable, cette France qui se contraint à la repentance à mots couverts et récidive par vociférations répétées...

L’image eut été belle, mais il faut se rendre à l’évidence...Macroute est un indécrottable "antimite"...