Monde de malades, monde de fous, qui met en relation la bourse et une pandémie, même si dans les deux cas il ne s’agit que de manigances et manipulations des consciences, nous sommes tellement assujettis à nos modes de pensées que le bon sens se fait aussi rare qu’un verre d’eau pure.
A qui profite le crime, sûrement pas à l’artisan et au petit paysans, pas plus qu’au personnel soignant et à l’enseignant, même pas au cadre supérieur et à l’homme politique qui se font des illusions, ils seront jetés quand ils ne serviront plus à rien...