Je ne peux que constater que ta saillie caricaturale est à une telle promiscuité de la réalité que ça en devient jouissif...cette prise de parole imaginaire de Jacquot est jumelle de celle qu’il pourrait tenir en privé, loin des caméras, et lorsque la dérision entre en épousailles avec la vérité c’est simple...je craque...