Il est temps d’instaurer un crédit social à la française : les nuisibles et parasites d’en bas doivent dans ce genre de cas se voir sucrer leurs droits sociaux pour une durée qui reste à déterminer par la loi, et saisir la propriété qu’ils louent. C’est la moindre des choses pour un pays civilisé que de punir de la sorte ce genre d’insecte.