Black Lives Matter
ressemble fort à un cheval de Troie, poussant aux tensions et au
chaos dès que possible depuis plusieurs années et visiblement très
intéressé par le fait de gagner en influence sur la communauté
noire de façon générale.
Vous remarquerez que
pendant qu’est détruite la figure paternelle (c’est encore plus vrai
pour la communauté noire US), remplacer le leadership d’hommes
responsables par la tyrannie de l’émotion, par des féministes, des
homos et des athlètes/artistes starisés est une façon de s’assurer
un meilleur contrôle sur la communauté noire. C’est aussi à ce jeu
là que joue Black Lives Matter, en tant que pion d’une ingénierie
sociale plus large. A replacer dans la continuité du mouvement
pseudo « Woke » (éveillé) et de la grande comédie
Colin Kaepernick sur les terrains de football notamment.
Le levier victimaire est
un instrument de choix pour la propagande car les gens sont toujours
plus aisément manipulables quand guidés par leurs émotions. Et
puis bien sûr, par dessus le marché, la gauche américaine semble
tellement désespérée par Trump qu’ils semblent prêts à tout.