Tous ceux qui faisaient le jeu du pouvoir en assimilant le complotisme à une paranoïa pathologique vont se prendre dans quelques mois un retour de flamme de réalité qui pourra, au pire, leur coûter la vie, au sens propre du terme, et au mieux, leur occasionner une chute de 10.000m de haut. La ficelle est devenue si énorme que même les plus sérieux analystes commencent à introduire des sous-entendus à peine voilés. Je joins ci-dessous les extraits d’un article récent de Delamarche, dont ne remettra en cause les compétences, et dont on ne peut pas dire qu’il s’affiche dans la complosphère. Et pourtant ...
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L’OCCIDENT SE SOVIETISE (2/2) :
" [...] Je le répète : jamais le monde moderne n’a connu une telle crise économique.
Or les seules réponses apportées sont la dette et la planche à billets.
C’est un peu comme si vous branchiez un patient qui n’a plus de cerveau
et aucun organe en état de fonctionner à un cœur artificiel pour créer
une illusion de vie.Toutes les décisions qui sont prises
aujourd’hui auront un impact pendant des décennies sur nos vies et
celles de nos progénitures.
Objectivement, le Covid-19 n’est qu’un
virus peu mortel comme l’humanité en a connu des milliers depuis des
millénaires. Il peut être très contagieux, il tue, mais plutôt moins que
d’autres. 24 heures sur 24. 7 jours sur 7. Les gouvernements, les organisations
internationales, les médias ont traité cette crise sanitaire comme si le
risque était une extinction de notre espèce
[...]
Dans quel but ?
Pour faire passer tout ce qu’ils n’auraient pas pu nous faire accepter en temps normal.
Ils
ont joué sur nos peurs, sur le fait que nos sociétés n’acceptent plus
le risque, pour que l’on se tienne tranquilles. Pendant que nous sommes
confinés, ils peuvent d’une part camoufler au mieux leur incapacité à
gouverner, et d’autre part, prendre prétexte de cette pandémie pour
restreindre drastiquement nos libertés à un point qu’on ne pouvait
imaginer.
Traçage, incitation pécuniaire à la délation, accès à
des données confidentielles, droit de propriété, libre circulation, mise
en résidence surveillée, la sphère privée n’existe plus.
[...]
Les deux graphiques ci-dessous vous feront comprendre pourquoi la
reprise en V n’aura pas lieu. L’immense majorité des ménages n’avaient
pas de matelas de sécurité avant la pandémie, il n’y aura donc pas
d’effet de rattrapage car ils n’auront rien à dépenser.
Ne vous posez aucune question sur ce qu’il va se passer par la suite.
Pour le moment, la majorité essaie de se convaincre que la reprise sera
rapide et que finalement les dégâts seront limités. C’est tout le
contraire, les dégâts sont déjà tellement importants que, pour citer
Michel Houellebecq, le monde d’après sera comme le monde d’avant… en
pire.
Nous sommes tous en danger. Nos modes de vie, notre patrimoine, notre épargne, mais aussi et surtout nos vies"