@maQiavel
Il n’y a pas consensus sur les violences interpersonnelles avant la fin du paléolithique et heureusement vu que les données actuelles montrent qu’il y a eu une grosse méprise sur l’analyse des blessures observées sur les restes humains, l’image du groupe d’humain dominés par un mâle tyrannique est pour moi aussi fausse que pour les chimpanzés et les gorilles où c’est surtout la "politique" et la solidarité qui prédominent, et beaucoup d’ouvrage récent reviennent sur ces théories.
Quand on élargit l’angle d’approche on constate que les charniers de la fins du paléolithique coïncident avec une crise locale (aridité, hiver rude etc) ou, vers le Nil, une zone de grande abondance entouré de terre aride qui attire la convoitise.
Au paléolithique supérieur il me semble qu’on étaient quelques milliers en Europe, ça devait pas se mettre sur la gueule (a part peu être des barjot), les gars trouvaient surement beaucoup mieux à faire quand, après avoir passé des mois, voir des années avec ses parent ses oncles tantes et cousins, le ventre plein ils croisaient un groupe de congénère.