@Norman Bates
"Quel manque de discernement..."
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Une sentence sans appel ?.
Je ne recherche pas la polémique avec vous, ni un combat de coqs intellectuel, mais uniquement une construction dialectique prémisse toute construction politique collective (sans être certain d’y arriver).
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Nul n’est parfait.
Encore moins nous autres "Bouledogues de la République", majoritairement bras cassés de l’économie et parfois damnés de la Terre. On peut donc se tromper. Le doute est un excellent outil complémentaire pour une analyse optimisée.
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De votre côté, vous avez la capacité intellectuelle de reconnaître qu’une liste gouvernementale qui aurait été réduite à 9% à l’élection municipale (malgré le soutien massif du parti présidentiel, de l’appareil gouvernemental et de l’énorme majorité des médias) aurait fatalement eu un impact psychologique sur les citoyens et donc sur tout le système, depuis l’opposition éclatée jusqu’à la gouvernance sans boussole. Sous la barre de 9%, j’ai (nous avons) eu le tort de croire que la composition et certaines décisions du gouvernement suivant aurait été bien différentes.
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Hélas, comme la peur électorale n’a pas été suffisante, ils ont donc gardé le mauvais ministre de la santé. Ils ont mis Castaner à la tête de leur parti, etc., et lancé une politique économique eugénique démentielle dans la gestion ("petit bras-petit pied-petit tout") du PGE / Prêt Garanti par l’Etat.
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En France, il y a ceux qui disent que tout est de la faute de l’Europe. Ou de la faute des juifs. Ou de l’immigration. Ou des ENArques. Ou de la gauche. Ou de la faute du patronat. Ou des banques. Ou des blancs car anciens esclavagistes (comme si les noirs et les arabes n’auraient pas été esclavagistes : c’est même encore noir sur blanc dans l’actuel Coran non réformé). Bref. Le pays est lamentablement éclaté à cause des œillères des ignorances et dogmatismes.
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Le jour où les français seront enfin réunis derrière un projet constructif et mobilisateur, les choses s’amélioreront, et bien plus vite. D’où notre volonté "En Marge" de nous concentrer sur un travail collectif de projet alternatif de société plus active, plus créative, moins injuste et moins mollusque.
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Un projet, en passant, qui comprendra fatalement un "complément de liberté d’expression citoyenne". Dans ce combat pour la revitalisation de la France, il y a de place pour tous les hommes de bonne volonté, quels que soient leurs parcours antérieurs.
Très cordialement.