@medialter

J’ai aussi visionné le documentaire. Entièrement d’accord avec tes propos.
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À ceci près qu’il convient d’ajouter que si tout ces vocables de réinitialisation (Great Reset) et d’ingénierie sociale ne sont pas reliés aux problématiques de la baisse du taux de profit ainsi qu’à la crise de la marchandise, cela n’aboutit à rien. On est dans une histoire pour enfants où il y a des gens qui veulent dominer d’autres hommes — comme l’a par exemple souligné Hijack bien qu’il ne soit pas vraiment certain qu’il l’entendait ainsi.
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Il faut bien identifier que le mondialisme est lié à une idéologie, qui est le monothéisme de la marchandise totalitaire, elle même d’abord liée à une pratique qui est la valeur d’échange. Celle-ci a surgit au néolithique, elle n’a pas cessé de se répandre...
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Or, et c’est la critique que l’on pourrait faire de ce film-documentaire, il n’en est question nulle part. Ce qui peut par ailleurs expliquer qu’il puisse exister médiatiquement car il n’est au final pas subversif, il laisse la porte ouverte au néo-prouddhonisme, c’est-à-dire à la reconstruction d’une économie et d’une politique nouvelle.
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Après ce discours est inintelligible pour celui qui baigne dans la société de l’indistinction et du divertissement. Celui qui ne sait pas creuser ne peut que se contenter de percevoir la surface des choses.