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Tchakpoum 17 décembre 2020 12:00

@JL

Il a été écroué à la maison d’arrêt de Nîmes, sur mandat du procureur, le 7 décembre. Difficile d’imaginer que c’était pour le protéger, il y a peut-être d’autres endroits pour ça.
Ce n’était pas non plus une garde à vue pour l’interroger, puisque cela se passe dans un commissariat ou une gendarmerie.
Un mandat d’arrêt doit expliquer pourquoi le procureur estime que l’inculpé doit être en prison. Les médias rapportent qu’on lui reprocherait l’exercice illégal de la médecine (ses patchs contre les maladies neurodégénératives). Le motif est présenté au conditionnel dans les médias, les journalistes n’ont donc pas eu accès au mandat du procureur, ni eu la communication directe de celui-ci.

Il a été placé à l’HP le 10 décembre.

Après une période d’observation de 72 heures sous la forme d’une hospitalisation complète, les médecins de la personne en SDRE (soins sans consentement), ont deux choix : maintenir le patient en hospitalisation complète, ou l’orienter vers un programme de soin.

Dans le cas de Jean-Bernard Fourtillan, sauf levée de la mesure d’hospitalisation pour raison médicale ou administrative dans les prochains jours, "il sera reçu en audience par un juge avec obligatoirement l’assistance d’un avocat", précise enfin le procureur de la République de Nîmes.

https://www.allodocteurs.fr/se-soigner/affaires-justice/pourquoi-le-militant-antivax-jean-bernard-fourtillan-est-il-hospitalise-en-psychiatrie_30435.html

On est le 17 décembre, 168 heures ont passé...

Et maintenant, on ne sait plus où est sa femme...




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