@Duke77
Tu te trompes donc quand tu estimes qu’il y
a une sorte d’équivalence de qualité entre les études anti-HCQ et les pro car
il y en a beaucoup plus qui démontrent son efficacité
Vous aurez toujours
en face de vous un bubu qui va vous présenter des études qui démontrent l’inefficacité
le l’HCQ.
C’est comme
l’iceberg : on ne considère que l’aspect visible du problème sans explorer
l’aspect invisible qui fait sa masse réelle.
A l’expérience
de Milgram, pour réflexion, ajoutez celle de Robert Rosenthal, avec son groupe
des rats A qui sont tous arrivés au fromage du labyrinthe plus rapidement que
ceux du groupe B, alors que les rats proviennent d’un même lot et ont été séparés
de façon complètement aléatoire. Expérience qui imprègne d’ailleurs toute la médecine, avec son effet Pygmalion, sa prophétie auto-réalisatrice, son placébo qui faussent constamment, (ou résistent) à l’envie scientiste, technocratique sur cette discipline.
Peut-être
que le double aveugle ne suffit pas et que l’effet intentionnel reste agissant
sur les résultats d’un test clinique.
Peut-être aussi que la triche est un sport
beaucoup plus répandu qu’il y a 30 ou 50 ans.
Peut-être qu’il y a eu un
effondrement de compétences, ou qualités des experts et que la pensée
idéologique a replacé celle de l’analyse.
Imaginez que
vous faites un match de foot contre une équipe qui vous a battu deux fois avec
des tricheries que l’arbitre n’a pas vues. Puisque c’est la limite de l’arbitre
qui a fait gagner l’adversaire à ce match, vous allez tricher à votre tour pour
espérer gagner.
Si vos deux
équipes se connaissent, se détestent depuis longtemps à cause d’accumulations
de tricheries réciproques, vous ne pourrez plus jouer sans tricher. Les
nouveaux joueurs, pleins d’enthousiasme, qui aiment le foot, le génie du sport,
l’expression des talents, et rejoignent l’une ou l’autre des équipes se feront
voler de leurs intentions initiales car ils n’auront pas d’autres choix, en rejoignant
leurs aînés (ou la société déjà constituée), de tricher à leur tour.
Les tests cliniques
obéissent à des règles inchangées, comme
les matches de foot, et produisent
régulièrement des résultats (la mesure des effets à un traitement comme le
nombre de buts de chaque équipe), mais ces règles ne départagent plus de la
valeur d’un traitement comme de la valeur d’une équipe.
Je devrais adresser
ce message à bubu. Je trouve des Raoult,
Perronne ou Fouché, plus intéressants, sans doute comme vous, alors que bubu
est plus proche des Lacombe, Yazdanpanah ou Peiffer-Smadjah.
Mais je peux
discuter avec vous du sport (de la médecine) et comment l’améliorer en constatant
les erreurs de Raoult (HCQ : fin de
partie, le virus n’est pas plus grave que les accidents de trottinettes, il n’y
aura pas de deuxième vague). Je peux même discuter de ses tricheries (le changement
de conditions de sélections de candidats à l’HCQ au début sans le renseigner
dans ses résultats), car il faisait déjà face à l’adversité qui cherchait tout
prétexte pour l’abattre au lieu de faire face à l’attente pour savoir si l’HCQ
est un traitement intéressant ou non. Si j’évoque cela avec bubu, il y verra
autant de brèches, non pas pour discuter du sport, mais pour penser pouvoir démontrer
que l’HCQ est mauvais.