Alanhorus est ici connu pour nier compulsivement la réalité de certaines informations relatant un attentat ou un fait divers, en recourant à la méthode hypercritique : la photo des cadavres n’est pas visible sur Internet, on n’est pas sûr que le sang n’est pas du jus de tomate, les prétendues victimes portent un nom qui n’est pas courant dans la région, etc.

Ici, il nous sort l’un de ces arguments préférés : "on voit une femme qui ne pleure pas alors que dans un petit village normalement tout le monde se connait". 

On voit une femme qui ne pleure pas, donc toute cette histoire est un montage digne des spectacles du Puy du Fou ou bien entièrement réalisé en imagerie holographique.

Mais au fait, pourquoi diable ce fait divers ne serait-il pas vrai (tout simplement) et surtout pourquoi une vaste mise en scène aurait été ainsi montée avec des acteurs, des décorateurs, des costumiers, des ingénieurs pyrotechniciens, des graphistes et des faux journalistes faisant partie des services secrets gouvernementaux (qui n’ont que ça à foutre) ? Quel est le but de ce spectacle ? La répondre se trouve dans les méandres du psychisme de Alanhorus.