comme les prescriptions sont (en principe) libres, ils ont utilisé les restrictions qui existent pour les médicaments très chers ou dangeureux, à utilisation réservée aux hôpitaux.
Ce qui a permis un coup double : nous empêcher de soigner nos patients et réserver l’hydroxychloroquine aux cas graves hospitaliers, quand c’est trop tard....
Dr Geneviève Barbier-Farrachi