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Covid : les complotistes avaient donc raison ?
" Moi, je n’ai rien à perdre car j’ai renoncé à tout en 2008, un an
après l’élection du gangster Sarkozy. J’ai compris peu de temps après
son accession à l’Elysée que des forces étrangères prenaient possession
de mon pays et que désormais il était impossible de dire et d’écrire la
vérité.
En effet, tout journaliste qui prétendait faire de l’information
fiable et vérifiable, mettait sa carrière et sa vie en danger sous le
régime mafieux sarkozyste. Mon confrère Thierry Meyssan qui avait
d’ailleurs publié « L’effroyable imposture » au sujet des attentats du
11 septembre, était devenu la cible de toutes les attaques, de tous les
sarcasmes de l’intelligentsia sioniste
parisienne toute puissante, subissant même des menaces de mort, jusqu’à
ce que Sarkozy lui fasse comprendre que l’Etat français ne garantirait
plus sa sécurité. Ce qui l’a conduit à s’exiler au Liban puis en Syrie
pour éviter de mettre sa vie en danger. Et ceci devrait faire réfléchir
tous mes confrères journalistes qui continuent à servir la soupe au
pouvoir et ceux qui s’y refusent.
J’ai changé de vie pour sauvegarder ma liberté et ma sécurité, en me
disant que grâce à Internet je pourrais continuer à dire ce que j’ai à
dire sans dépendre de personne. Et même si sur le plan financier c’est
beaucoup moins confortable, le type d’existence que j’ai choisi, me
permet malgré tout d’être beaucoup plus heureux qu’avant et c’est ce qui
compte avant tout.
Aujourd’hui une année est passée depuis l’arrivée du Covid dans nos
vies quotidiennes. Je me suis senti un peu seul à défendre la thèse de
la conspiration criminelle car certains de mes confrères me disaient que
je sombrais dans le complotisme, que je voyais le mal partout, que ma
vision des choses n’était pas crédible…
Entre temps, des collectifs d’avocats, de médecins, de scientifiques,
de chercheurs ont fini à leur tour par s’interroger et sont arrivés aux
mêmes conclusions que moi : nous sommes bien face à un crime contre
l’humanité.
Et si au début, certains cherchaient à qui peut bien profiter le crime, aujourd’hui les auteurs, les instigateurs, les responsables
et coupables, les complices de ce crime à grande échelle, s’affichent
sereins et tranquilles dans les plus prestigieuses organisations
internationales, dans les palais nationaux, dans les médias, publiant des livres où ils dévoilent même leurs plans comme Klaus Schwab, donnant des conférences et des directives aux gouvernements comme Bill Gates, des colloques entre comploteurs comme le franc maçon Jacques Attali, et tous ceux qui expliquent que le Covid constitue la crise idéale pour faire basculer le monde sous un gouvernement mondial. Ils créent le problème et proposent la solution. On connaît la musique.
Alors le « complotiste » que j’étais est soudain devenu un « visionnaire » depuis que les documentaires « Hold up« , « Maltraités » et « Covid le crime parfait » faisant le buzz sur la planète, ont contribué à poser les bonnes questions.
Je ne compte plus le nombre de retournements de vestes auxquels j’ai
assisté ces derniers mois, les uns m’expliquant que j’avais raison,
d’autres disant qu’ils le savaient mais qu’ils ne pouvaient pas
l’exprimer publiquement, et d’autres encore me disant qu’avec le nombre
de crédits qu’ils ont sur le dos, ils ne pouvaient pas courir le risque
d’écrire la vérité. Sans fausse modestie aucune, je ne vous cache pas
que cela a été doux à vivre."