... encore une petite fois, je vais accumuler le désaprobations... mais, voila... lisez les phrases en une seule fois :

2 cas 

— il y a une entité superieure (un peu comme le papillon est à la chrysalide) auquel cas, et en généralisant, notre esprit persiste apres notre metamorphose (et il peut y avoir de multiples metamorphoses en chaine)

— il n’y a rien ni avant, ni apres, pffft disparu le bel esprit en même temps que le corps et quelquefois bien avant.

...et, dans les deux cas, cela implique quand même que nous soyons responsable de nos actes, de notre environnement et de la collectivité à laquelle nous appartenons.

(1) Dans ce 1er cas, puisque nous avons un avenir "apres", que nous respections ou pas, nos ampleurs perpendiculaires (dans l’espace extraterrestre) et dans le temps (les générations de chenilles chrysalides) notre liberté sociale est beaucoup plus libre, les compteurs seront remis a zero. 

C’est bien a ce niveau qu’interviennent les livres — bible etc— , comme un code civil du comportement afin de ne pas detruire notre destinée.

Au fait, y a-t-il d’autres destinées ?

(2) C’est par contre clairement dans le second cas qu’il faut se préoccuper des relations que nous avons entre nous, car la durée de vie qui nous est donnée, sans philosopher sur le bien et le mal, doit etre la plus agréable et facile et surtout la plus respectueuse envers les autres. (bien qu’apres tous, clin d’oeil au cinema, il y a ceux qui creuse et ceux qui tiennent le révolver)

Comme nous sommes tous differents, avec des aspirations multiples, nous n’avons trouvé qu’une seule organisation acceptable (systeme cellulaire, comme la couverture des bornes de nos GSM) et nous esperons profiter des choix que nous faisons, sans entraves bien sûr.... qui commencent avec les règles que nous definissons et les moyens de les mettre en oeuvre.

En cela, l’auteur, ici, voit notre cellule comme une station de métro ? pourquoi pas, Il y a ceux qui ne sont que de passage (cas 1) et ceux qui y restent confinés définitivement (cas 2)