Étude : Les conspirationnistes sont sains ; les suiveurs des gouvernements sont fous, hostiles.
Ce n’est pas une « théorie » comme ils disent, c’est l’histoire...
Traduit par Global Relay Network
Des études de la part de psychologues et sociologues aux USA et au
Royaume-Uni suggèrent qu’à l’inverse des stéréotypes des médias
mainstream, ceux qui sont étiquetés "conspirationnistes" apparaissent
plus sains que ceux qui acceptent les versions officielles des
événements.
Extraits :
La
psychologue Laurie Manwell de l’Université de Guelph est d’accord pour
dire que l’étiquette "théorie de la conspiration" conçue par la CIA
dérange les fonctions cognitives. Elle souligne, dans un article publié
dans American Behavioral Scientist (2010) que les gens qui sont
anti-conspiration ne peuvent pas penser clairement à propos de tels
crimes apparents contre la démocratie que le 11 septembre à cause de
leur incapacité à gérer des informations en conflit avec une croyance
pré-établie.
.
Dans le même numéro de ABS, le Professeur de l’Université de Buffalo Steven Hoffman ajoute
que les gens anti-conspiration sont typiquement la proie d’une "forte
tendance à la confirmation" - c’est-à-dire, ils recherchent des
informations qui confirment leurs croyances pré-établies, tout en se
servant de mécanismes irrationnels (tel le label "théorie de la
conspiration") pour éviter des informations conflictuelles.
.
Pas étonnant que les gens anti-conspiration (accusateurs de complotisme) ressemblent de plus en plus à des cinglés hostiles et paranoïaques.
Suite et source.