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sls0 sls0 9 mars 2021 13:41

Déjà en mai il y avait déjà une étude très complète des différents clusters dans le monde. On pouvait en déduire les zones à risques.

Eglises évangélistes, discothèques, restaurants mal aérés tenaient le haut du classement.

Sur 320 clusters étudiés, pas d’événement en extérieur.

Si on a tous les bons gestes pour enlever et mettre un masque comme dans le milieu médical ou dans des zones toxiques pas de problème pour moduler le port du masque en fonction du risque.

Le masque :

Si une personne infectée à son masque et la personne en face non infectée a son masque le risque de transmission est de 1,5%.

Si la personne non infectée n’a pas de masque ça monte à 5%.

Si la personne infectée n’a pas son masque mais que la personne saine en a un le risque monte à 70%.

Pour résumer, le masque ne protège pas trop de la contamination extérieure mais protège l’extérieur vis à vis de nous.

Le virus :

Son enveloppe extérieure c’est du cholestérol, ça veut dire qu’à l’air libre c’est sa mort.

Il ne peut survivre que dans un milieu humide, à minima des goutelettes.

Plus la goutelette est petite, plus elle peut se répendre sous forme d’aérosol mais plus vite elle s’évapore.

Dans une goutelette plus grosse et aura une dispersion balistique mais survivra plus longtemps.

Le masque doit protéger des goutelettes d’un diamètre plus gros que le virus ce qui est le cas en sortie de bouche. Le masque n’a pas à filtrer du diamètre du virus, c’est du virus mort.

Le virus à l’air libre :

Il faut une certaine charge virale pour qu’il y ait infection. Le vent disperse donc la charge virale est toujours trop faible.




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