La presse aux ordres lui tombe dessus :
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Victoria Abril s’emporte contre le « Coronacircus », cette « farce », lors d’une cérémonie en Espagne
.En pleine dérive complotiste, l’ex-muse de
Pedro Almodovar a comparé le vaccin à un poison. Avant de clamer son
envie de revenir définitivement en ses terres ibériques, où les libertés
fondamentales ne sont, selon elle, pas menacées.