@Tchakpoum

Ici, un bon résumé, d’un media "neutre" (en tout cas reconnu par le mainstream) de l’histoire de l’ivermectine relativement à la crise sanitaire sur le coronavirus.

https://www.capital.fr/economie-politique/ivermectine-la-france-passe-t-elle-a-cote-dun-medicament-efficace-contre-la-covid-19-1397573

L’article a oublié la gale dans une maison de retraite de Seine et Marne. L’ivermectine a été distribuée à tout le personnel. Pas de morts malgré des cas covid constatés entretemps.
L’étude a été faite, sur comparaison avec des maisons de retraites voisines, (sans ivermectine, donc) où il y eu des morts.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S015196382030627X
 69 résidents, avec un âge médian de 90 ans, et 52 employés. 11 covid détectés, (7 résidents, 4 personnels). Pas d’hospitalisation, pas d’oxygénation.
Cela s’est passé en France, en mars 2020, en plein début de premier confinement, avec tout le monde sur le pont. Personne n’a vu, regardé, analysé. "Tiens, y’a p’têtre un truc qui marche !". Rien à foutre, piquez-moi tout ca et allez, zou !

Test a été fait en 2002, avec un groupe placebo, même à 10 fois la dose maximale autorisée par le FDA, pas de différence avec le groupe placebo.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12362927/
Ce qui remplace les relevés Vigibass dans mon article.

Aujourd’hui, Flemming inventerait la pénicilline qu’on lui dirait "barre-toi chez les complotistes avec ton médoc de naze".

Par contre, après les "fuites" sur des conclusions contraintes à cette dernière étude d’Andrew Hill, l’Agence Européenne du Médicament, alors qu’elle n’a pas été saisie, s’est empressés de faire un communiqué pour déconseiller le médoc.
Entre criminels, il faut se soutenir.