@Mao-Tsé-Toung
Mon pauvre Mao, tu ne sais déjà pas lire les lignes sans que tu ne partes dans les délires, n’essaies pas de lire entre les lignes.

Si j’écris que je suis parti dans les Caraïbes c’était pour être personne, peut être que je trouvais que j’étais trop quelqu’un en France.
A priori j’ai raté mon coup dans les iles. J’avais misé que pour quelqu’un de zen dans un pays pas zen du tout ça devrait passer. 

Ben oui, ici je suis personne et j’ai prévenu personne de mon retour à part la famille.
Je sais que les chiens m’aiment bien, maintenant je fais attention quand à l’autre bout de la laisse il y a une jolie fille, je change de trottoir.
Je cotoie un peu les voisins, des gens des bois. Le plus souvent je discute avec un naturaliste, je fais des photos pour lui. Il y a aussi un naufragé de la vie qui aime causer avec moi.

Sur un forum normal on intervient très peu, on écrit très peu. Vivre dans un pays hispanique ça n’améliore pas l’orthographe ni le vocabulaire. Quand je parlais rarement en français parfois les mots ne venaient plus facilement. Pour l’entretien de son français il faut écrire encore faut il avoir des raisons d’écrire, je ne suis pas trop à donner des avis. Il me fallait donc un forum avec assez de faux pour me faire réagir en cela agoravox c’est une sacrée source de faux, il y a de quoi être motiver. En plus c’est amusant d’être un empêcheur de mentir tranquillement, elle est palpable la frustration.

Non contrairement à toi je n’ai pas besoin de reconnaissance, aussi bien ici ce n’est que virtuel, tu parles d’une reconnaissance.

Une plante médicinale guérit, parfois elle a un gout amer.
Mes écrits on parfois un gout amer pour certains, ce n’est pas pas malice, une sale maladie que le mensonge. Un sacré handicap ne carburer qu’en se fiant qu’à la complosphère.

Etre rien c’est compréhensible par celui qui a été reconnu dans sa vie. Il est compréhensible que celui qui n’a jamais eu de reconnaissance n’y comprenne rien.
Toutes les périodes de la vie sont géniales, mon style de vie ou la vision que l’on avait de moi m’empêchait de pouvoir rentrer dans le club des vieux et en apprécier le coté génial. Où je suis maintenant plus d’empêchements.