(C’était pour répondre à Chienchien, mais j’en ai marre de ses commentaires à l’eau sale pour polluer des études qu’il ne lit même pas).
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Tess Lawrie.
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_8cb655bd21b1448ba6cf1f4c59f0d73d. pdf

Preprint, études de métadonnées selon le méthode DECIDE, l’approche GRADE, la procédure Cochrane.
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Moderate certainty evidence indicates that ivermectin probably reduces deaths by an average 83% (95% CI, 65% to 92%) compared with no ivermectin treatment (5 RCTs, 1107 participants ; RR 0.17, 95% 0.08 to 0.35 ; risk of death 1.4% versus 8.4% among participants in this analysis).

RCT = ERC, en français, Essai Randomisé Contrôlé, le fameux gold standard.
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A second analysis, which includes OCTs can be found in the Appendix at the end of this document. Findings from the latter analysis which included nine studies and 1735 participants are consistent with the above analysis and suggest a probable reduction in deaths of about 69% on average (RR 0.31, 95% CI 0.16 to 0.61 ; risk of death was 3.9% vs 9.9 %), a slightly more modest effect estimate than the analysis above that includes RCTs only

Cette fois-ci, en incluant des études observationnelles (les OCT)
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Andrew Hill.
https://assets.researchsquare.com/files/rs-148845/v1_stamped.pdf
Commande OMS, étude de méta-données, peer review et qui a bénéficié du travail gratuit de Tess Lawrie (c’est cool).
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This meta-analysis of 18 RCTs in 2282 patients showed a 75% improvement in survival, faster time to clinical recovery and signs of a dose-dependent effect of viral clearance for patients given ivermectin versus control treatment.

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Mais :

Despite the encouraging trend this existing data base demonstrates, it is not yet a sufficiently robust evidence base to justify the use or regulatory approval of ivermectin. However, the current paucity of high-quality evidence only highlights the clear need for additional, higher-quality and larger-scale clinical trials, warranted to investigate the use of ivermectin further.

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Commentaires :
L’étude de Tess Lawrie, évalue la "robust evidence" des études avec la méthode DECIDE et l’approche GRADE, ce qui lui a fait éliminer plus d’études ERC disponibles qu’Andrew Hill. Elle a même intégré les études observationnelles mesurées suffisamment fiables, quitte à baisser le résultat global. Justement pour présenter la "robust evidence" que déplore Andrew Hill ne pas pouvoir présenter.

D’autre part, une ancienne étude que j’ai la flemme de retourner chercher a montré, à la comparaison avec un groupe placébo, que même à 10 fois la dose d’ivermectine recommandée, les sujets ne présentent pas de différences d’effets secondaires éventuels avec ceux du groupe placébo.
En témoignage, la docteur Jacky Stone, qui a converti le Zimbawe à l’ivermectine depuis août 2020, donne parfois 20 fois la dose prescrite. Les habitants se mangent maintenant le variant Sud Africain, et surtout, les malades graves n’ont pas accès aux respirateurs à oxygène dans ce pays sous équipé. Elle a donc monté la dose pour barrer l’évolution de la maladie. Et à 20 fois la dose, elle guérit et la mortalité fait partie des plus basses d’Afrique, en dépit de sa frontière commune avec l’Afrique du Sud. 

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Et merci à l’Argentin pour cet appel que j’avais vu à la conscience des médecins qui soignent dans le monde.
Au passage, avec ce plaidoyer qui a conclu la conférence mondiale BIRD qu’elle a organisé fin avril (https://bird-group.org/conference-post-event/), elle a ruiné son cabinet de conseil en fiabilité des études cliniques, qui avait l’ONU pour premier client.

Les médecins d’ordinateurs et les statisticiens de plateaux tévés servent, eux, les autorités sanitaires qui pensent que le covid est trop grave au point de nécessiter l’expérience de nouveaux vaccins sur toute la population mondiale, mais que le covid est trop dérisoire pour se risquer à des médocs qu’on connait depuis plusieurs décennies. La panoplie continue à s’enrichir d’ailleurs, avec un autre ancien médicament prometteur à suivre : la suramine.
https://www.cliniquemutualisteamberieu.fr/la-suramine-semble-prometteuse-comme-traitement-covid-19
Elle pourrait même contribuer à bloquer la réplication de l’ARNm des vaccins, si celle ci faisait exploser les systèmes immunitaires innés.