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juanyves juanyves 7 juillet 2021 16:14

@Sentero
Je fais partie d’une communauté de personnes que l’on appelle un peuple ou une nation et je suis un citoyen de celle-ci. En tant que tel, j’émet mon opinion et je tiens à participer au débat qui concerne ma propre vie. Je dénie à quiconque de restreindre mon droit à la parole sous prétexte que je ne suis pas qualifié, affirmation totalement gratuite, non avenue et sans aucune preuve. "Tuer le messager pour détruire le message", c’est le propre de celui qui n’a pas d’argument et se croit supéreur. On l’a suffisamment employé pour dénigrer toutes voix discordante.
Les exemples tout le monde les connais, c’est juste une question d’honnêteté intellectuelle.
Mais là n’est pas le sujet, vu que cela n’engage que leurs auteurs et ne dénote qu’un manque dramatique d’arguments.

Le fond du sujet, et je me cantonnerai à celui-ci est : Y a-il-consensus scientifique
Tout le monde a pu constater au cours de cette pandémie que "consensus scientifique" a été prononcé des millions de fois. Il est raisonnable de se poser les questions : Pourquoi et que signifie ce concept ?
Le consensus (scientifique ou autre) suppose qu’il y a entre les acteurs d’une communauté une certaine unanimité ou tout au moins une très large majorité : les voix discordantes sont largement minoritaires et leurs allégations ne remettent pas en cause le fond.
Dans une communauté scientifique les élements de débat et de preuve sont les publications réalisées. Ce qui détermine le consensus ce sont les publications et la révision par les pairs.
Dans toutes les assemblées il est reconnu et parfois imposé que les membres qui ont un lien d’intérêt avec un sujet sur lequel une décision doir être prise ne participe pas au vote.
Il est donc logique que des publications sur un sujet, effectuées par des entités ayant un fort lien d’intérêt, ne soient pas prises en compte de la même façon que d’autres effectués par des entités indépendantes.
Qui détermine s’il y a consensus scientifique ?

  • Ceux qui veulent que leur thèses soient reconnues comme consensus
  • Les autorités dites "compétentes"
  • Les autorités politiques
  • Et surtout l’opinion publique à laquelle l’on devolue le rôle d’arbitre du dernier ressort

Qui sont ces autorités compétentes et quels sont leurs liens d’intérêt ? Ont elles intérêt à soutenir des publications sponsorisées par des Laboratoires pharmaceutiques pour pouvoir ensuite publier (n’importe quoi peut-être) dans les revues que ces Laboratoires sponsorisent et ainsi obtenir de l’avancement dans leur carrière.
voir le reportage d’Arte

Il est donc évident que l’opinion publique est déterminante. Comme dans tout conflit l’assistance est prise à témoin pour déterminer celui qui a raison. Il est donc primordial d’avoir celle-ci de son côté pour imposer sa thèse. Peu importe le niveau de connaissance de l’assistance, ce qui importe ce n’est pas ce que l’on dit mais comment on le dit (les beaux parleurs) :

Maintenant analysons ce qui s’est passé.
Dans un premier temps il y a eu une ruée sur les plateaux télé de gens et journalistes qui n’ont jamais publié quoi que ce soit, qui se sont autodéterminés experts, des médecins et des personnages plus ou moins haut placés et tous, journalistes et "experts", avec des liens d’intérêt reconnus. Combien étaient des médecins de terrain. Les journalistes sont des fondamentaux, ce sont des professionnels du parler. Il y a eu une occupation de l’espace médiatique par ces gens-là pour répéter à l’infini, en s’appuyant sur les publications des laboratoires pharmaceutiques et d’autres publications falsifiées, qu’il y avait un consensus scientifique sur le sujet du virus et de la covid. Lancet, recovery, solidarity ...

Bien sûr il y a consensus sur l’existence d’un virus qui cause un gros problème de santé publique, mais là n’est pas le problème.

Y a-t-il consensus sur la façon de lutter contre cette épidémie ? NON
Quelques voix discordantes ont commencé à apparaître : immédiatement on les a marginalisés en ne leur laissant que peu d’espace médiatique et en les attaquant sur leur personnalité, jamais sur le fond. Un journaliste type Bourdieu ou Cohen font bien l’affaire pour dévalorisé le message de professeurs ou chercheurs en naïfs et peu habitués aux plateaux télés et à ce genres d’individus malhonnêtes et corrompus. Petit à petit ont commencé à apparaître des publications mettant en cause les dogmes qui commençaient à s’établir, mais sans moyens financiers sans appuis institutionnels du fait d’une "élite" corrompue.

Pendant ce temps on a continué inlassablement à répéter le mantra "consensus scientifique".
Une armée de trolls a envahi les réseaux sociaux, les check news ont proliférés pour chéquer n’importe quoi et n’importe comment : est-ce que toto a bien dit que titi avait fait sur son pot. L’honnêteté intellectuelle a permis des amalgames hors de tout bon-sens. style : "la cigüe est un poison violent, arrêtez de manger des carrottes, c’est de la même famille". Les propriétaires des Gafas ont limité (pourquoi ?) jusqu’à l’indécence la visibilité de ces voix discordantes, établissant une censure de fait par des entités privées sans que les autorités politiques garantes de la pluralité ne réagissent (probablement par peur des conséquences).
Leur délire : il y a 12 mois il est interdit de parler d’une origine humaine, maintenant c’est conseillé : On appelle cela reécrire l’histoire non ?

Petit à petit le fameux consensus scientifique s’est fait sa place dans l’opinion publique : "si la télé le dit alors", "les chiffres parlent", "les politiques le disent" etc.....
Ensuite viennent les menaces coercitives et le "qu’est ce que tu veux qu’on fasse".

Mais quand l’on regardent réellement les publications scientifiques et surtout celles qui ne sont pas liées à des intérêts économiques, l’on s’aperçoit, si l’on est honnête évidemment, que la chose est complètement inversée, surtout si l’on prend en compte les obstacles presque insurmontables que leurs auteurs ont pour publier sans l’aval des sponsors de ces publications, sponsors bien connus d’ailleurs.
Où est le biais, dans le contenu des publications ou dans le fait de l’autorisation de qui de droit pour pouvoir publier ? Mais ces publications existent dans des revues de moindre "prestige".
Je ne vais pas rentrer dans les détails et compter les publications pour et contre j’en laisserai le soins à ceux qu’intéressent les chiffres et les statistiques.
Mais tout le monde sait très bien que les seules publications scientifiques prises en compte par le fameux "consensus scientifique" sont celles des laboratoires et quelques unes qui sont dans le flou

 : étrange non ?
Quid des plus grands scientifiques, épidémiologistes, virologues comme John Ioannidis, Pierre Kory, Mac Cullough, Malone, Raoult, Perrone etc... Et inutile de contester leurs compétences, pour celà il faut être à leur niveau de compétence sur ce sujet et ne pas répéter ce que disent des pantins de plateaux télé qui n’ont jamais publiés quoi que ce soit et ne soignent pas de malades.

Des résultats à grande échelle comme ceux de l’Inde, du Mexique sont passés sous silence. Des sites comme https://c19early.com/ ou https://ivmmeta.com/ recensent toutes les études sur les possibles traitements avec la seule réponse : ils ne sont pas randomisés, ce qui est faux, il y en a, malheureusement pour les morts, certains randomisés.
Et le grand mot à la mode : Randomisé + en double aveugle, là est notre salut (sauf pour celui qui a été mal randomisé). Comme disait Coluche on est tous égaux mais il y en qui le sont plus que d’autres (randomisés ?). C’est la roulette russe et c’est contre tous les principes de base de la médecine qui est de soigner (prendre soin et ne pas nuire).
"Avant de vous soigner, attendez de voir dans quel cas de figure il y a moins de morts" et je m’arrête là sinon je pourrais devenir mauvais et méchant.
Et je conclue en affirmant, sans crainte de me tromper, que oui il y a eu complot pour imposer et faire croire à une population ignorante qu’il y avait un "consensus scientifique" qui n’existe absolument pas, au contraire le consensus serait plutôt à l’inverse et chaque jour apparaissent de nouvelles contradictions. Le temps joue contre les faussaires et la vérité fini toujours par sortir.
Toute la campagne de lavage de cerveau mise en place est basée sur ce mantra répété à l’infini : "consensus scientifique"
La destruction de ce mantra est probablement aussi essentielle que celle d’autres mantras comme les armes de destruction massives en Irak, l’antrax de Perlin Pinpin ou l’Eschirria Coli des concombres espagnols




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