Suite :
« Les juristes du gouvernement vont certainement expliquer qu’il y a des exceptions, ce qui est exact.
Mais celles-ci sont soumises à de strictes exigences :
La personne sur laquelle l’expérimentation est faite doit avoir
préalablement signé un document donnant la composition détaillée du
médicament concerné, ses effets immédiats, ses effets secondaires
potentiels. Elle certifie l’avoir lu, se l’être fait expliquer, avoir
tout compris et être d’accord pour recevoir le produit concerné.
Ils vont objecter qu’ils n’y a pas dans la loi française de chapitre
spécifique consacré auxdits « vaccins », ce qui est évident, puisqu’à
l’époque tout le monde pensait, à l’exception de quelques scientifiques
précurseurs, que l’on ne saurait jamais bricoler et modifier le génome
humain par des manipulations de ciseaux protéiniques inventés en 2015.
Cela ne change rien au principe global de la Convention d’Oviedo : toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite.
La vaccination est bien une intervention médicale ? Oui.
Celle qu’envisagent les laboratoires consistent bien à injecter un ARNm pour modifier le comportement de l’ADN ? Oui.
Donc c’est interdit. »