Selon le Professeur Christian Perronne entre autres,
« nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des
rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l’ADN de nos
chromosomes.
Ces rétrovirus ’’domestiqués’’ qui nous habitent sont habituellement inoffensifs
(contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent
produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à
l’envers, de l’ARN vers l’ADN.
Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection
pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors
s’intégrer dans nos chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes
définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des
acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces
modifications génétiques à nos enfants.
nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des
rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l’ADN de nos
chromosomes. »