@pemile
Il parle de l’absence de test de toutes les molécules déjà utilisées dans d’autres pathologies, sur l’étagère (génériques) qu’on aurait pu utiliser immédiatement après avoir vérifié leur impact sur le virus.
""Il y a un réservoir de molécules (à tester) . Est-ce que , je sais pas, la parafine dans le nez, la vaseline dans le nez, que l’on trouve dans certains produits, je sais pas quoi le "Vicks, ... est-ce que ça évite la contamination... ?"
Il se trouve que la vaseline est l’excipient essentiel du "Vicks" qui par ailleurs contient plusieurs molécules qui sont antiseptiques des voies respiratoires.
A aucun moment il ne parle de mettre du "Vicks" dans le nez (seule l’inhalation des vapeurs est autorisé, sinon en application externe), il parle de tester des molécules archi connues sur le SARS-Cov2.
Cela a fait la "une" de certains médias mais la critique cinglante de la corruption de la recherche médicale n’a pas fait une ligne en dernière page.
Le tri des cerises est un métier on va dire.