Nous avions les horizons élargis
d’amour et d’idéalité, nos musiques, nos récits et nos aspirations. Nous
avions l’énergie, la force, la vérité mais nous nous sommes cognés à la
réalité. Nous sommes de pauvres hères, éphémères, appauvris, et, nous
ne saurions rester en beauté, asservis.