Je ne sais si la porteuse de la pancarte voulais sous entendre quelque chose de mal mais on reste dans le domaine du sous-entendu. Que l’on puisse mettre quelqu’un en garde à vue pour des sous-entendus qu’il reste à démontrer me semble quand même un peu surréaliste.
C’est quoi l’étape suivante après le mot "qui ?", rien que d’évoquer les noms des personnes sur la pancarte nous vaudra-t-il des poursuites, car lié à cette pancarte ?
Il me semble qu’une telle situation aux Etats-unis serait probablement passée totalement inaperçue...