Sommes-nous face
à un déferlement autoritaire ?
Sa principale
caractéristique c’est la privation de perception et de jugement des personnes
par une intrusion forcée dans la pensée individuelle pour imposer une pensée
unique.
Cette pensée
c’est "la vaccination est le seul moyen de nous sauver du risque mortel
que fait peser sur nous la présence du virus SARSCOV2", "pour que la
vaccination soit efficace il faut que tout le monde soit vacciné peu importe ce
qu’il en coûte et le plus tôt sera le mieux".
Ce déferlement
autoritaire de plus est sanitaire et se caractérise par l’intrusion forcée d’un
ordre donnée aux cellules du corps intrusé de fabriquer une protéine, la spike,
toxique pour ce même corps dans le but d’induire la reconnaissance d’un virus,
le SARSCOV2, à travers la reconnaissance de cette protéine spike, sachant que
cette protéine peut modifier, assez facilement, son aspect au cours du temps.
Ce déferlement
autoritaire prend sa source et s’auto-alimente dans la peur de la mort générée
et entretenue dans la population par des médias aux ordres de cette pensée
unique, des gros intérêts financiers et politiques.
Face à ce
déferlement autoritaire seuls restent les gens qui, paradoxalement, sont surinformés
sur le virus, la maladie qu’il cause et les vaccins proposés issus des
biotechnologies (soit environ 15%). À ceux-ci s’ajoutent les personnes, bien
que vaccinés et souvent volontairement, motivées pour qui la liberté reste un
bien fondamental et inaliénable (entre 5 et 10%).
Le reste ce sont
les personnes incapables de résister à l’hypnose, le lavage de cerveau et la
propagande effrénée au quelle tout le monde est soumis. Propagande, soit dite
en passant qui utilise les pires techniques de manipulation de la pensée
découvertes dans les dernières décennies, bien au-delà de ce qui a été fait
dans d’autres pays dictatoriaux. Certains parlent de moutons, ce sont plutôt
des faibles incapables de se battre pour eux et leurs enfants, sans défense et
sans volonté réelle de fouiller les aboutissants de cette chienlit. C’est la
majorité silencieuse, la masse. Et cette masse peut être mise en danger par les
actions de quelques docteurs Follamours sans qu’elle n’en ait la moindre
conscience.
Cette masse prise
en otage a développé un syndrome de Stockolm et se retrouve à défendre ceux qui
les ont traités de tous les noms (égoïstes, peureux, lâches, criminels,
dangereux pour la société, complotistes etc...), qui leur ont interdit
d’enterrer décemment leurs morts, qui les ont obligés à bâillonner leurs
enfants pour en faire définitivement des êtres perturbés psychologiquement ou
retardés intellectuellement.
Chaque jour la
science-fiction se fait moins fiction et l’évolution continue sa route
imperturbable, laissant de côté les faibles et gardant les forts. Ainsi a
disparu néanderthal et est resté sapiens. Une chose est sûre : ce n’est pas
l’intelligence artificielle (IA) qui sauvera le faible. L’IA ne pourra jamais
penser, sentir ou aimer.
Ce déferlement
totalitaire n’est pas seulement l’apanage de la thématique covid. On la
retrouve dans tous les niveaux de la société : autant dans les discours
politiques, au bistro, dans les commentaires d’AV, dans les discours
identitaires, dans la science. En fait l’autre est devenu l’ennemi, il peut
être porteur, même sans le savoir, d’une charge destructrice (bombe, savoir,
virus, un plus quoi). Il faut prendre la distance de l’autre, s’en protéger,
créer un mur ou une barrière. On ne parle plus, on chatte. L’ennemi c’est aussi
une autre couleur de peau, de pays, un autre genre ou une autre conviction
politique
Pour éviter la
mort on arrête la vie.
Mais la masse, si
elle prend conscience d’avoir été blousé, pourrait bien avoir une réaction bien
violente et peu prévisible
Face à un
déferlement totalitaire le Sage retourne dans sa grotte pour méditer, admirer
le spectacle de l’océan en furie. Il y attendra, en méditant, que l’océan se
calme ce qui, pour sûr, adviendra. (reprise de Confucius)