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juanyves juanyves 11 septembre 2021 17:05

Sommes-nous face à un déferlement autoritaire ?

Sa principale caractéristique c’est la privation de perception et de jugement des personnes par une intrusion forcée dans la pensée individuelle pour imposer une pensée unique.

Cette pensée c’est "la vaccination est le seul moyen de nous sauver du risque mortel que fait peser sur nous la présence du virus SARSCOV2", "pour que la vaccination soit efficace il faut que tout le monde soit vacciné peu importe ce qu’il en coûte et le plus tôt sera le mieux".

Ce déferlement autoritaire de plus est sanitaire et se caractérise par l’intrusion forcée d’un ordre donnée aux cellules du corps intrusé de fabriquer une protéine, la spike, toxique pour ce même corps dans le but d’induire la reconnaissance d’un virus, le SARSCOV2, à travers la reconnaissance de cette protéine spike, sachant que cette protéine peut modifier, assez facilement, son aspect au cours du temps.

Ce déferlement autoritaire prend sa source et s’auto-alimente dans la peur de la mort générée et entretenue dans la population par des médias aux ordres de cette pensée unique, des gros intérêts financiers et politiques.

Face à ce déferlement autoritaire seuls restent les gens qui, paradoxalement, sont surinformés sur le virus, la maladie qu’il cause et les vaccins proposés issus des biotechnologies (soit environ 15%). À ceux-ci s’ajoutent les personnes, bien que vaccinés et souvent volontairement, motivées pour qui la liberté reste un bien fondamental et inaliénable (entre 5 et 10%).

Le reste ce sont les personnes incapables de résister à l’hypnose, le lavage de cerveau et la propagande effrénée au quelle tout le monde est soumis. Propagande, soit dite en passant qui utilise les pires techniques de manipulation de la pensée découvertes dans les dernières décennies, bien au-delà de ce qui a été fait dans d’autres pays dictatoriaux. Certains parlent de moutons, ce sont plutôt des faibles incapables de se battre pour eux et leurs enfants, sans défense et sans volonté réelle de fouiller les aboutissants de cette chienlit. C’est la majorité silencieuse, la masse. Et cette masse peut être mise en danger par les actions de quelques docteurs Follamours sans qu’elle n’en ait la moindre conscience.

Cette masse prise en otage a développé un syndrome de Stockolm et se retrouve à défendre ceux qui les ont traités de tous les noms (égoïstes, peureux, lâches, criminels, dangereux pour la société, complotistes etc...), qui leur ont interdit d’enterrer décemment leurs morts, qui les ont obligés à bâillonner leurs enfants pour en faire définitivement des êtres perturbés psychologiquement ou retardés intellectuellement.

Chaque jour la science-fiction se fait moins fiction et l’évolution continue sa route imperturbable, laissant de côté les faibles et gardant les forts. Ainsi a disparu néanderthal et est resté sapiens. Une chose est sûre : ce n’est pas l’intelligence artificielle (IA) qui sauvera le faible. L’IA ne pourra jamais penser, sentir ou aimer.

Ce déferlement totalitaire n’est pas seulement l’apanage de la thématique covid. On la retrouve dans tous les niveaux de la société : autant dans les discours politiques, au bistro, dans les commentaires d’AV, dans les discours identitaires, dans la science. En fait l’autre est devenu l’ennemi, il peut être porteur, même sans le savoir, d’une charge destructrice (bombe, savoir, virus, un plus quoi). Il faut prendre la distance de l’autre, s’en protéger, créer un mur ou une barrière. On ne parle plus, on chatte. L’ennemi c’est aussi une autre couleur de peau, de pays, un autre genre ou une autre conviction politique

Pour éviter la mort on arrête la vie.

Mais la masse, si elle prend conscience d’avoir été blousé, pourrait bien avoir une réaction bien violente et peu prévisible

Face à un déferlement totalitaire le Sage retourne dans sa grotte pour méditer, admirer le spectacle de l’océan en furie. Il y attendra, en méditant, que l’océan se calme ce qui, pour sûr, adviendra. (reprise de Confucius)




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