@Conférençovore
Votre
premier point se fonde entièrement sur la prémisse suivante :
Le
vaccin empêche la transmission du virus.
On
sait déjà que cette affirmation est fausse. Cela a été constaté
empiriquement, pourtant on fait comme si on ne le savait pas.
Bizarre. C’est un dogme contredit par les faits, mais on continue
d’y croire. Cela relève donc du domaine de la croyance.
Cette
première prémisse est elle-même adossée à une autre prémisse,
plus fondamentale :
Le
vaccin permet de lutter contre un virus précis, donc il est bon pour
l’organisme.
Autrement
dit, on balance allègrement par-dessus bord le principe de
précaution. Que connaît-on des effets à long terme ? Sachant
qu’on ne les connaît pas, est-il raisonnable de prendre un tel
risque en vaccinant en masse et à l’échelle planétaire ?
Mais aussi, est-il sage de lutter contre un virus si peu létal en
employant de si grands moyens ? N’est-ce pas comme défoncer
une porte avec un missile de croisière ?
D’un
point de vue pragmatique, si l’on tient compte des incertitudes
quant aux effets à moyen et long terme, ne serait-il pas judicieux
de garder une partie du personnel médical non vacciné ? Le bon
vieux proverbe qui dit qu’il ne faut pas mettre tous ses œufs dans
le même panier ne s’applique-t-il pas ici ? Que ferons-nous
si, dans quelques années, le personnel soignant est décimé à
cause des effets secondaires, inconnus pour le moment, du vaccin ?
De
manière plus générale et plus globale, hors considération du
personnel soignant, il me semble sage et prudent qu’il y ait une
partie de la population qui ne soit pas vaccinée, et qui donc
continue de développer et de renforcer son immunité naturelle, au
cas où ça tournerait mal.
Cela
dit, je dois faire mon mea culpa : j’avais mal compris ce que
voulait dire flolenigo. Je m’en excuse auprès de lui, s’il me lit. Olivier Perriet m’a permis de comprendre
mon erreur. C’est sans doute le point Godwin (la référence aux
nazis) qui m’a agacé et m’a entraîné dans l’erreur.