Il
est grand temps de rappeler aux "zemmour de la politique", aux
délinquants, que la politique ne soigne personne ; que l’on ne soigne
pas ses obsessions, ses névroses, sa paranoïa, sa psycho-sociopathie et
pour finir, les affres de son histoire familiale, avec la politique qui
plus est au détriment de la dignité auquelle chaque être humain doit pouvoir
prétendre.
Si
l’on doit « débattre » avec zemmour, petite frappe de la politique,
ce ne peut être que dans un seul but, un seul : rappeler que tout porteur d’une
parole raciste ne saurait prétendre à aucune légitimité et respectabilité
quelles qu’elles soient.
C’est
ce que Mélenchon aurait dû asséner deux heures durant. C’est ce qu’il n’a pas
fait. C’était une faute.