Dans le principe, rien de bien nouveau sous le soleil de la propriété intellectuelle et des grasses rentes actionnariales auxquelles elle ouvre.
Dans la pratique, on imagine mal les labos pharmaceutiques lever le voile sur les incertitudes de leur dernière bidouille génique, plus encore si elle vise en fait à réduire l’excédent démographique grevant les profits du grand capital, ...
Déjà qu’en toute bonne foi, Amnesty International — respectable ONG maintenant très grassement financée, et noyautée, par l’Open Society Foundation de Georges Soros (grand "ami" et co-investisseur de Bill Gates dans des solutions numérisées de passe sanitaire) — ne s’indigne que de la démocratisation du seul "salut vaccinal" sans jamais s’interroger sur la mise hors jeu de toute thérapie alternative en dit long sur le biais qu’elle adopte.