@yoananda2
Ouais mais
là où c’est très pervers, c’est que selon le discours de certaines féministes radicales,
ce n’est pas parce qu’une femme est consentante au début du rapport qu’elle l’est
forcément pendant. C’est-à-dire que tu peux signer un contrat de consentement
mais ça n’empêche pas que 5 minutes plus tard ta partenaire ne le soit plus,
donc viol potentiel. Je n’exagère même pas, c’est flippant. Le consentement
devient quelque chose qu’il faut obtenir en permanence.
D’ailleurs,
je dis que ça risque d’arriver ici mais on a déjà des signaux. Juliette Méadel
qui était porte-parole du PS et secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux
victimes a écrit « le doute ne doit pas
bénéficier aux accusés ». Jacques Toubon qui est actuellement « Défenseurs des
droits » a écrit qu’en cas de harcèlement sexuel,
c’est à l’auteur des faits de démontrer devant la justice qu’il n’y a pas eu
harcèlement.
Tu imagines ?
Tu es en concurrence pour une promotion avec une collègue qui ne peut pas te
piffrer et qui t’accuse de harcèlement sexuel pour te saquer et c’est à toi de
te démerder pour prouver que tu es innocent. Bonne chance !