@ezechiel
Les sciences païennes, si on peut parler de sciences (mésopotamiennes,
asiatiques, égyptiennes, indiennes, grecques, romaines, perses, arabes, mayas,
...) étaient basées sur l’observation de la nature et de leurs Dieux magiques
(Dieu du Soleil, de la Lune, de la Terre, du Vent, de la Mer, de la Forêt,..).
Quelle naïveté, mon pauvre ezechiel. Vous devriez voyager un
peu, aller à Thèbes, Cnossos, Mycène, ou Ephes, sans compter Athènes : vous me parliez d’humilité
chrétienne plus haut, je vous assure que vous comprendriez ce que c’est. Ou en
Perse, il reste encore de bons vestiges saisissants. Ou allez visiter les murs
de Cuzco et Tiwanaku : aucun architecte au monde ne sera capable de vous expliquer
comment ils été faits. Et même, toute l’histoire occidentale et orientale
ignore cela.
Des papyrus égyptiens ont été trouvés, notamment celui de Rhind, présentant
des problèmes mathématiques scolaires datant de 1800 av JC. Il y a toutes sortes de calculs arithmétiques, tout en
fractions, ils adoraient ça, des équations, des calculs de surfaces, volumes, y
compris cylindriques, des pentes, des angles.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Papyrus_Rhind#Contenu
Si vous saviez l’étendue des connaissances astronomiques qui
existaient déjà il y a plusieurs millénaires en Chine, Amérique centrale, M.O.,
Inde, vous auriez honte d’avoir écrit ça.
Je vais vous faire peur : on a retrouvé un os, celui d’Ishango,
qui présente 3 séries d’entailles toutes en base 60, dont une aligne des
nombres premiers. Cet os a 35000 ans. Avec une bonne spiritualité, on n’a aucune raison d’en avoir peur, on
devrait au contraire être fier des prouesses de l’espèce humaine. Et justement, ce scientisme totalitaire, consécutif a une
certaine religion totalitaire, a des difficultés à admettre cela.
Quant-aux "dieux magiques" de la nature, s’ils y étaient encore, il n’y aurait pas d’OGM, de PMA/GPA, de puces dans les corps, de folies vaccinales et autre misères chimériques en prévision, car la matière organique, ce n’est pas péché, pas sale, ni méprisant, mais au contraire précieux, comme le sont les êtres vivants.