On est obligé d’admettre l’existence d’un complot. La gestion est trop mauvaise pour être involontaire.
Avoir fermé des lits d’hôpitaux pendant des années pour utiliser le critère des hôpitaux débordés pour confiner le pays : il n’y a pas eu de gain financier dans l’opération, c’est évident.
Mettre sur la carreau des soignants qui refusent à juste titre un vaccin expérimental qui n’empêche pas la contamination (voire qui l’augmente) ni ne permet l’immunité collective (il faudrait, compte tenu de son (in)efficacité, vacciner plus de 100% de la population), ça ne peut pas faire l’affaire de l’hôpital et de notre santé. Mais cette aggravation (voulue) obligera à prendre des mesures liberticides supplémentaires pour "vaincre" la maladie et les mauvais chiffres.
Bref, plus ils gèrent mal, plus ça va mal, donc on nous supprime des libertés... et ça va encore plus mal, donc il décide d’être encore plus autoritaire dans leur mauvaise gestion, donc toujours moins de liberté...
On comprend mieux l’apparente mauvaise gestion si l’on se met à considérer que leur but initial est de supprimer les libertés. Et alors là, on se rend compte que le plan est bien calculé, bien anticipé, bien synchronisé. Et qu’ils gèrent très bien même.