@sls0
Le fait est que Ventavia est une entreprise américaine donc soumise à la législation américaine.
Question 1 : pourquoi ce sont des sous-traitants (à qui l’on peut faire porter une casserole sans se mouiller, bien pratique) qui sont chargé de la partie la plus importante pour avoir l’autorisation déterminante pour ouvrir la vanne des milliards.

Réponse : Parce qu’on peut leur faire porter le chapeau (moyennant finance) sans que cela porte préjudice à la maison mère Pfizer. Cela s’appelle un pare-feu
Question 2 : pourquoi chaque sous traitant n’a la gestion que de 1000 personnes ? Réponse : cela permet de réduire les risques de généralisation dus à de possibles fuites. Limitation augmentées par le choix de sous-traitants répartis sur plusieurs pays. Ces sous-traitants ayant un volume de travail augmentés substantiellement ont donc recours à des intérimaires facilement taxés par la suite, en cas de fuite, de rechercher une vengeance pour fin de contrat présenté comme licenciement. Les possibles problèmes seront toujours imputés soit à une vengeance, soit à une mauvaise qualification (interimaires sous qualifiés, sous payés, éléments indépendants de la responsabilité de Pfizer mais activement recherchés pour les bénéfices procurés)
Question 3 : qu’en est-il des autres sous-traitants et où sont-ils localisés ? On peut raisonablement penser qu’il y en a au Brésil, au Mexique et dans bien d’autres pays plus regardant des dollars que des normes scientifiques pour de bons résultats. Réponse : on peut raisonablement penser que tous ces sous-traitants ont été briefé avec des dollars plus brillants pour les résultats escomptés.

Suppositions amplement corroborées par des résultats bien différents après comprobation, la rapide vaccination des groupes témoins, les contrats incroyables imposées aux pays, la non autorisation des vaccins concurrents pouvant permettre des études comparatives et toutes les magouilles pour occulter des résultats ou censurer des avis scientifiques divergents.

On a le droit d’être intelligent et de ne pas s’en tenir aux messages de ces gens qui se sont faits surtout reconnaitre par leurs mensonges et ont appris avec le temps à utiliser des méthodes pare-feux, pour se dédouanner.
Les porcs chercheurs de truffes grouinent à chercher des truffes quand ils sont dans la campagne où tout sent bon mais ne grouinent plus quand ils se vautrent dans leur caca chez eux où ça sent mauvais.